Édition du mardi 26 juillet 2016
Le gouvernement étend le label French Tech à 21 territoires
Le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, et la secrétaire d'Etat au Numérique, Axelle Lemaire, ont annoncé hier à Laval qu'une vingtaine de territoires allaient bénéficier du label French Tech, en plus des 13 métropoles qui bénéficient déjà de ce dispositif de soutien aux jeunes entreprises numériques.
Des « réseaux thématiques », qui concerneront la e-santé, les objets connectés, l'e-éducation, les technologies vertes, les fintechs (technologies en matière de paiement et de banque), la cybersécurité, le e-commerce, le sport ou encore l'alimentation, permettront à des territoires ne bénéficiant pas du label « métropole French Tech » d'être intégrés au dispositif.
« Nous souhaitons dynamiser les secteurs sur différentes thématiques, en y intégrant des territoires plus petits qui intègrent ces réseaux pour une durée de deux ans, afin d'amener au développement des écosystèmes de territoires émergents », explique-t-on au ministère de l'Economie.
En plus des 13 métropoles labellisées « French Tech » qui ont été confirmées à cette occasion, 21 territoires ont été sélectionnés après appel à candidature afin d'intégrer ces réseaux thématiques.
Par exemple, la thématique « sport » regroupe au sein d'un même réseau la Normandie, Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier, et Saint-Jean-de-Luz/Hossegor.
« Certains territoires avaient postulé à l'obtention du label métropole French Tech, d'autres non. Ils rejoignent ces réseaux pour deux ans puis seront remis en concurrence via un nouvel appel à candidature, les cartes seront rebattues », ajoute-t-on au ministère.
Concernant les métropoles, Bercy a estimé que « les différents éléments de structuration sont en place et bien posés, d'où notre volonté de valider ces 13 métropoles ».
Lancé en 2013, le label « French Tech » doit permettre un accompagnement et une accélération du développement du tissu de jeunes pousses en France, tout en l'aidant à gagner en visibilité à l'international.
L'objectif affiché a également été de valider les écosystèmes existants dans les régions, via l'attribution il y a 18 mois d'un label « métropole French Tech » à 13 villes ou groupements hors Paris : Aix-Marseille, Montpellier, la Côte d'Azur, Toulouse, Bordeaux, Grenoble, Lyon, la Lorraine, Lille, la Normandie, Nantes, Rennes-Saint Malo et Brest. (AFP)
Des « réseaux thématiques », qui concerneront la e-santé, les objets connectés, l'e-éducation, les technologies vertes, les fintechs (technologies en matière de paiement et de banque), la cybersécurité, le e-commerce, le sport ou encore l'alimentation, permettront à des territoires ne bénéficiant pas du label « métropole French Tech » d'être intégrés au dispositif.
« Nous souhaitons dynamiser les secteurs sur différentes thématiques, en y intégrant des territoires plus petits qui intègrent ces réseaux pour une durée de deux ans, afin d'amener au développement des écosystèmes de territoires émergents », explique-t-on au ministère de l'Economie.
En plus des 13 métropoles labellisées « French Tech » qui ont été confirmées à cette occasion, 21 territoires ont été sélectionnés après appel à candidature afin d'intégrer ces réseaux thématiques.
Par exemple, la thématique « sport » regroupe au sein d'un même réseau la Normandie, Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier, et Saint-Jean-de-Luz/Hossegor.
« Certains territoires avaient postulé à l'obtention du label métropole French Tech, d'autres non. Ils rejoignent ces réseaux pour deux ans puis seront remis en concurrence via un nouvel appel à candidature, les cartes seront rebattues », ajoute-t-on au ministère.
Concernant les métropoles, Bercy a estimé que « les différents éléments de structuration sont en place et bien posés, d'où notre volonté de valider ces 13 métropoles ».
Lancé en 2013, le label « French Tech » doit permettre un accompagnement et une accélération du développement du tissu de jeunes pousses en France, tout en l'aidant à gagner en visibilité à l'international.
L'objectif affiché a également été de valider les écosystèmes existants dans les régions, via l'attribution il y a 18 mois d'un label « métropole French Tech » à 13 villes ou groupements hors Paris : Aix-Marseille, Montpellier, la Côte d'Azur, Toulouse, Bordeaux, Grenoble, Lyon, la Lorraine, Lille, la Normandie, Nantes, Rennes-Saint Malo et Brest. (AFP)
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